François nait le 20 août 1880 à Lyon (3ème).
Il est le fils de Antoine Palisse et de Marie-Catherine née CHARVOLLIN.
Son père meurt le 27 août 1892. Sa mère épouse en secondes noces mon arrière grand-père Elie SAILLANT, veuf de Marie-Perrine qui est décèdée le 8 avril 1893 en mettant au monde mon dernier grand-oncle Louis (voir Fiche Louis SAILLANT)
Matricule 1015 de la classe 1900 du centre de recrutement de Bourgoin (François habite alors St André le Gaz où mon AGP a loué une maison), il effectue son servicee militaire au 97ème RI de Chambéry, à partir du 16 novembre 1901. Il est libéré le 1er mai 1904.
Il se marie en 1905 avec Eugénie CUZIN à Saint André le Gaz.
Le 1er août 1914, il est appelé au 106ème RIT de Sathonay où il reste jusquau 28 septembre.
Il est alors muté au 222ème RI. Il est affecté à la 18ème compagnie du 5ème bataillon.
Le 222ème appartient à la 147ème Brigade de la 74ème DI.
François rejoint son régiment en Lorraine. Il participe à la reprise de Norroy (bataille du signal de Xon)
puis part en forêt du Parroy pour y construire des éléments de défense.
Le régiment tient notamment les positions de Veho.
Puis il revient en forêt du Parroy.
Le 24 décembre 1915, François passe au 87ème RIT.
Le régiment voit ses bataillons dispersés dans la région de Soissons où ils effectuent des travaux d'arrière-front.
François souffre de rhumatismes aïgus et est évacué le 2 février 1916 sur l'hôpital n°14 de Saint Nicolas du Port (Meurthe-et-Moselle), puis le 10 mars, il est à l'hôpital auxiliaire n°28 de Pontarlier (Doubs), puis le 17 mai , il est à l'hôpital complémentaire de Dôle (Jura).
Après une permission, le 12 décembre 1916, il rejoint le 147ème RI qui est au repos au camp de La Faloise (Somme), puis dans la région de Toul au camp de Domgermain.
Le 147ème RI appartient à la 7ème brigade de la 4èmeDI.
Le régiment est mis au repos et à l'instruction jusqu'au 16 avril où il est en réserve pendant la bataille du Chemin des Dames mais ne sera pas engagé.
Par contre, il participe aux violents combats qui se déroulent vers Sapigneul (Marne), en mai.
En juillet 17, il est dans la région de Verdun à Avocourt.
Le 27 août 1917, François quitte le 147ème qui est alors au repos dans la région de Ligny-en-Barrois, à Sorcy pour le 87ème RIT.
Le 87éme RIT est très fractionné et ses éléments sont affectés à des travaux de 2ème ligne voire des travaux forestiers.
Le 31 août, François passe au 10ème RIT.
Ce régiment est lui aussi fractionné et ses éléments disperrsés selon les besoins.
Le 7 novembre 1918, il passe au 5ème Régiment du Génie, régiment essentiellemnt affecté à des travavaux sur le réseau ferroviaire.
François est libéré le 7 février 1919.
Bibliographie et iconographie
Archives départementales de l'Isère
Mémoire des Hommes
- JMO du 222èmeRI 26N 719/17-18-19
- JMO de la 74ème DI 26N 402 /1-2-3
- JMO du 147ème RI 26N 695 /13
- JMO de la 4ème DI 26N 263/ 8-9
Historique du 87ème RIT Imprimerie du Militant Brest 1921
Historique du 10ème RIT Saint Quentin
Forum 14-18
Blog "Chtimist"
Carte IGN Géoportail
Il est le fils de Antoine Palisse et de Marie-Catherine née CHARVOLLIN.
Son père meurt le 27 août 1892. Sa mère épouse en secondes noces mon arrière grand-père Elie SAILLANT, veuf de Marie-Perrine qui est décèdée le 8 avril 1893 en mettant au monde mon dernier grand-oncle Louis (voir Fiche Louis SAILLANT)
Matricule 1015 de la classe 1900 du centre de recrutement de Bourgoin (François habite alors St André le Gaz où mon AGP a loué une maison), il effectue son servicee militaire au 97ème RI de Chambéry, à partir du 16 novembre 1901. Il est libéré le 1er mai 1904.
Il se marie en 1905 avec Eugénie CUZIN à Saint André le Gaz.
Le 1er août 1914, il est appelé au 106ème RIT de Sathonay où il reste jusquau 28 septembre.
Il est alors muté au 222ème RI. Il est affecté à la 18ème compagnie du 5ème bataillon.
Le 222ème appartient à la 147ème Brigade de la 74ème DI.
François rejoint son régiment en Lorraine. Il participe à la reprise de Norroy (bataille du signal de Xon)
puis part en forêt du Parroy pour y construire des éléments de défense.
Le régiment tient notamment les positions de Veho.
Puis il revient en forêt du Parroy.
Le 24 décembre 1915, François passe au 87ème RIT.
Le régiment voit ses bataillons dispersés dans la région de Soissons où ils effectuent des travaux d'arrière-front.
François souffre de rhumatismes aïgus et est évacué le 2 février 1916 sur l'hôpital n°14 de Saint Nicolas du Port (Meurthe-et-Moselle), puis le 10 mars, il est à l'hôpital auxiliaire n°28 de Pontarlier (Doubs), puis le 17 mai , il est à l'hôpital complémentaire de Dôle (Jura).
Après une permission, le 12 décembre 1916, il rejoint le 147ème RI qui est au repos au camp de La Faloise (Somme), puis dans la région de Toul au camp de Domgermain.
Le 147ème RI appartient à la 7ème brigade de la 4èmeDI.
Le régiment est mis au repos et à l'instruction jusqu'au 16 avril où il est en réserve pendant la bataille du Chemin des Dames mais ne sera pas engagé.
Par contre, il participe aux violents combats qui se déroulent vers Sapigneul (Marne), en mai.
En juillet 17, il est dans la région de Verdun à Avocourt.
Le 27 août 1917, François quitte le 147ème qui est alors au repos dans la région de Ligny-en-Barrois, à Sorcy pour le 87ème RIT.
Le 87éme RIT est très fractionné et ses éléments sont affectés à des travaux de 2ème ligne voire des travaux forestiers.
Le 31 août, François passe au 10ème RIT.
Ce régiment est lui aussi fractionné et ses éléments disperrsés selon les besoins.
Le 7 novembre 1918, il passe au 5ème Régiment du Génie, régiment essentiellemnt affecté à des travavaux sur le réseau ferroviaire.
François est libéré le 7 février 1919.
Bibliographie et iconographie
Archives départementales de l'Isère
Mémoire des Hommes
- JMO du 222èmeRI 26N 719/17-18-19
- JMO de la 74ème DI 26N 402 /1-2-3
- JMO du 147ème RI 26N 695 /13
- JMO de la 4ème DI 26N 263/ 8-9
Historique du 87ème RIT Imprimerie du Militant Brest 1921
Historique du 10ème RIT Saint Quentin
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