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Affichage des articles du avril, 2019

Émile BAYLON soldat au 149ème RI

Louis, Émile est né le 15 septembre 1885 à Niègles ou Nieigles (Ardèche) *. Il est le fils de Louis, Frédéric BAYLON et Marie-Rose née BAYLON. Son père est mineur à la “Compagnie Houillère de Prades et Nieigles”*. *En 1903, Nieigles est supprimé et sur son territoire sont créées 2 communes : Pont-de- Labeaume et Lalevade-d’Ardèche. **Exploité industriellement  de 1805 à 1931, le bassin houiller de Lalevade d’Ardèche donne lieu à 2 concessions : l’une dite de Prades et Nieigles et l’autre de Jaujac. La concession est accordée à la “Compagnie Houillère de Prades et Nieigles”. Les mines de Lalevade d’Ardèche     ©exxplore.fr   Le 14 juin 1893 à 10h du matin, alors qu’il travaille dans le puits “Chalmeton”, le père d’Emile est victime d’un accident et tué sur le coup. Sa femme reste veuve avec 3 garçons. Emile fait un apprentissage de boulanger. Matricule 859 de la classe 1905 du centre de Pont-Saint-Esprit , il fait son service militaire au 55 ème Régiment d’Infanterie du 8 oc

Clovis BAYLON, soldat au 297ème RI

Régis, Clovis  BAYLON  est né le 10 juillet 1883 à Niègles (Ardèche) *. Il est le fils de Louis, Frédéric BAYLON et Marie-Rose née BAYLON. Son père est mineur à la “Compagnie Houillère de Prades et Nieigles”*. *En 1903, Nieigles est supprimé et sur son territoire sont créées 2 communes : Pont-de-Labeaume et Lalevade-d’Ardèche. **Exploité industriellement  de 1805 à 1931, le bassin houiller de Lalevade d’Ardèche donne lieu à 2 concessions : l’une dite de Prades et Nieigles et l’autre de Jaujac. La concession est accordée à la “Compagnie Houillère de Prades et Nieigles”.   Les mines de Lalevade d’Ardèche     ©exxplore.fr   Le 14 juin 1893 à 10h du matin, alors qu’il travaille dans le puits “Chalmeton”, le père de Clovis est victime d’un accident et tué sur le coup. Sa femme reste veuve avec 3 garçons. Avant d’être appelé sous les drapeaux, Clovis est ouvrier en soie. Matricule 557 de la classe 1903 du centre de Pont-Saint-Esprit, il part au service militaire au 55 ème Régimen

Louis BAYLON, sapeur à la compagnie 15/11 du 7ème régiment du Génie

Louis , Frédéric  est né le 7 mars 1882  à St Pierre de Colombier .  Il est le fils aîné  de Louis, Frédéric BAYLON et Marie-Rose née BAYLON. Ses parents sont agriculteurs à Collanges, un hameau de St Pierre de Colombier. Ses parents viennent habiter à Lalevade d’Ardèche dès 1883 où son père est  mineur à la “Compagnie Houillère de Prades et Nieigles” *.   Les mines de Lalevade d’Ardèche     ©exxplore.fr   *Exploité industriellement  de 1805 à 1931, le bassin houiller de Lalevade d’Ardèche donne lieu à 2 concessions : l’une dite de Prades et Nieigles et l’autre de Jaujac. La concession est accordée à la “Compagnie Houillère de Prades et Nieigles”.   Le 14 juin 1893 à 10h du matin, alors qu’il travaille dans le puits “Chalmeton”, le père de Louis est victime d’un accident et tué sur le coup. Sa mère reste veuve avec 3 garçons. Avant d’être appelé sous les drapeaux, Louis est menuisier. Matricule 371 de la classe 1902 du centre de Pont Saint Esprit , il fait son service milita

Claudius SUBRIN, téléphoniste-canonnier au 54ème RAC

Claudius est né le 3 juin 1887 à Grézieu-le-Marché (Rhône). Il est le fils de Clément SUBRIN et Jeanne née CHEVRON. Matricule 1172 de la classe 1907 du centre de recrutement Rhône Sud, il fait son service militaire au 5 ème Régiment d’Artillerie de Campagne (RAC) dont le dépôt est au quartier Ruty à Besançon (Doubs). Arrivé le 8 octobre 1908, il est maître-pointeur* le 25 septembre 1909 puis passe au 4 ème RAC (dépôt : quartier Brun de Besançon). Il est libéré le 25 septembre 1910.   Les quartiers d’artillerie de Besançon   *Le maître- pointeur  Il manipule le collimateur de visée, la jauge, les manivelles de dérive et de hausse, suivant les indications transmises par le chef de pièce. C’est une fonction et non un grade. Il reprend son travail dans l’entreprise de textiles COFFY de Saint Julien en Jarez. où il est gareur.* Il vit route nationale à Saint Julien en Jarez avec ses 2 soeurs Marie (née en 1884) et Françoise (née en 1889), elles aussi ouvrières chez COFFY.   En

Frédéric MASNEUF, soldat au 58ème puis 321ème RI

Frédéric est né le 11 août 1890 à Burzet (Ardèche) . Il est le fils de Frédéric, Bénézet MASNEUF et de Rosine GIRAUD. Son père est cordonnier. Matricule 1162 de la classe 1910 du centre recruteur de Pont-Saint-Esprit (Gard), il fait son service militaire au 58ème Régiment d’Infanterie du 10 octobre 1911 au 7 septembre 1913. Le 58ème RI est dans la caserne Chabran d’Avignon (Vaucluse)   La caserne Chabran à Avignon   1914 À la déclaration de la guerre, Frédéric rejoint le 58ème le 3 août . À peine équipé, le 58ème RI quitte Avignon les 5 et 6 août et débarque le 7 à Vézelise (Meurthe-et- Moselle). Le 58ème RI forme avec le 61ème RI la 59ème brigade de la 30ème Division d’Infanterie (15ème Corps d’Armée au sein de la IIème Armée) Dès le 20 août,le régiment est engagé vers Dieuze dans la bataille de Morhange. Il reçoit la mission de tenir la lisière de la forêt de Bride et de Koeking. Il prend de plein fouet l’attaque allemande et doit se regrouper vers Kerprich.   Le 58èm